le mime arrive dans le rêve

Il se réveilla dans un champ. Il regarda autour de lui. Tout était noir, absolument tout. Il avait l’étrange impression d’être chez lui, il ne savait pourquoi. Un moment, il paniqua. Comment était-ce possible, était-il devenu daltonien!
Mickael ne comprenait pas, il ne pouvait pas se souvenir. Mais pourtant il essayait. C’était comme essayer de se rappeler un mauvais rêve. Plus il s’y raccrochait, plus il disparaissait.
Puis, sa le frappa. La femme, les lits, la larme… peut-être qu’il rêvait. Mais l’herbe sous lui, même noir, était tangible. Il pouvait sentir le vent, le soleil.
Il voulut crier. Crier n’importe quoi, juste crier. Mais rien. Aucun son ne put franchir ces lèvres. Il avait peur, il était seul, comme toujours, mais pourtant, il gardait cet étrange sentiments. Comme si c’était ici qu’il devait être. Comme si cet endroit était sa patrie, son foyer.
Mickael regarda autour encore une fois. Les nuages étaient noirs, mais c’était des nuages. Les arbres étaient noirs, mais c’était des arbres. Le soleil était noir, mais il pouvait sentir sa chaleur… il sentit son cœur se compresser dans la main de la tristesse.
*Tout est noir, pensa-t-il, comme en moi…*
Il regarda ses mains et ses vêtements. Il portait des collants noirs, un chandail noir moulant et des gants blancs. Il ne se souvenait pas en avoir mit. Pas plus que le reste des vêtements qu’il portait. Il essaya de les ôter, mais ne réussit pas. Il tira de toutes ces force, mais autant vouloir s’ôter la peau de sur le corps.
*Mais qu’aise que c’est que sa. Peut-être que je suis mort…et que je suis dans les limbes. Les limbes de mon cœurs… Je suis dans les limbes de mon cœur.*

Un chat, un chaton tout à fait trop mignon était assis, à quelque mètres de Mikael. Ne voulant pas trop s'aprocher du mime par sa gêne, le petit chaton se contenta de l'observer. Raide comme une reine dans un jeu d'échec, le petit chaton observa et analisa chacun des mouvements du mime.
Il avait tout d'Abord paniquer parce que il ne connaissait pas cette endroit. (observation du chaton qui est plein d'expérience)
Puis le chat cligna des yeux, et en les réouvrant, l'expression du mime avait totalement changer, il était triste, triste... Tout le monde est triste dans la vie, quelque-uns plus que d'autres c'est sûr. Mais tous qui était humain avait des sentiment, et l'un d'eux était la tristesse. La tristesse, sûrement un des sentiments les plus déplaisant, toujours un noeud dans l'estomac, toujours l'envhit de crier sa rage d'être impuissant, jamais envit de s'amuser, enfermer dans sa bulle, se reprochant tout se qu'il aurait pu faire et qu'il n'a jamais eu idée de faire.
La petite boule de poil connaissait sa, surtout le fait d'être toujours seul, pas tout le monde connaissait sa, être seul. La seule chose qui peut te réconforter lorsque tu es seul c'est tes rêves irréaliste que tu fais pour te dégager du vraie monde, toute les choses que tu rêve être mais que tu ne sera jamais. Rêver de devenir quelqu'un de bien et d'être plein de charisme, avoir des vraies amis, et surtout, avoir l'impression de ressentir l'Amitié...
Le chaton, avait toujours l'impression de ne jamais ressentir l'amitié, que de la pitié il ressentirait si son meilleur ami venait à mourir...

Mickael pleurait. Enfin, il essayait. Les larmes ne tombaient pas. Il ne comprenait pas pourquoi. Il sentait déjà les larmes sous ses yeux, mais il ne pleurait pas. C’était comme s’ils s’étaient figé sur ces joues. Comme s’ils étaient peinturés sur son visage. Mickael baissa les yeux et se roula en boule. Il soupira, il sanglota, puis il releva la tête. Il ne pouvait pas rester ici. Il ne pourrait jamais rester ici. Cet endroit lui fessait tellement mal, et il savait qu’il devrait le quitter. Il se mit en route, les yeux droits devant lui, il essaya d’être fort. Même avec la douleur en lui. Car même s’il était dans un endroit complètement impossible, un endroit qui, tout en étant son foyer, lui semblait-t-il, lui fessait mal, il ne pouvait l’oublier. Il ne pourrait jamais l’oublier.
*Je suis probablement mort et je ne peux m’empêcher de penser à elle. Mais si je suis mort, pourquoi n’est-elle pas la?*
Il continua de marcher en pensant, remuant ses souvenirs encore une fois, quand il trébucha sur quelque chose. D’abord surprit, Mickael se releva et se pencha pour voir ce qui l’avait fait tomber. Un chat! C’était un chat noir. Il ne l’avait pas vu. Comment l’aurais-t-il pus voir ce chat noir dans cette immensité de noir. Il avait l’air malheureux, seul, même si Mickael ne savait pas trop d’où lui venait ce sentiment. Il le caressa, se sentant un peu moins seul maintenant. Au moins il n’était pas le seul à avoir atterri ici. « Comment t’appelles-tu? », voulus-t-il lui demander, mais rien ne sortit de sa bouche.
*Mais pourquoi aise que je ne peux même pas parler?* se demanda-t-il, les yeux river dans ceux du chat.

Le petit chaton avait tellement été perdu dans ses pensés qu'il n'avait même pas vu Mickael se relever et s'avancer vers lui pour enfin trébucher sur la pauvre petite boule de poil.
La minette sursauta puis, sentit la main du mime sur son poil soyeux et doux.
Ensuite se qui se passa surprit le petit chaton: le mime lui avait demander son nom sans même bouger ses lèvres. Le chat l'avait entedue, à l'intérieur, une sorte d'éco.

Le chat hésita un moment et répondit.

-Je n'ai aucun nom dans ce monde, je n'ai que des surnoms... Nomme-moi comme tu le désires, et elle ajouta, monsieur le mime.

Le chaton s'avait déjà qu'il n'allait pas comprendre où il était et s'était quoi cette niaiserie de monsieur le mime parce que par les observations de tout à l'heure le la chatte avait pu remarquer que le mime ne connaissat pas ce monde et ses anomalies...

Mickael fut surpris. Il fit un grand bon en arriere, trebucha, et tomba sur le dos. Il regarda le chat avec peur, surprise et confusion.
*Un chat qui parle!*
Il resta un instant a terre, ne bougeant pas. Comme sil ne pourrait le voir sil ne bougeait pas. Mais pourquoi etait-il si surpris. Cette endroit etait byzzare, il ne pouvait pas le nier, et tout y semblait possible. Mais malgres cette logique, il ne put bouger un instant, paralizer par la peur. Car tout le monde as peur de ce quil ne comprend pas. Et lui ne comprennait rien. Quand il put bouger et penser normalement, il reflechis non pas a pourquoi mais a quoi. Comment lavais-t-il appeller deja... monsieur le mime. Et comment avais-t-il put le comprendre sans quun seul son ne sorte de sa bouche. Une idee folle le traversa, mais comment dire ce qui est fou et ce qui ne lest pas ici. Et si ce chat lisait dans ces penser. Il trouva ca ridicule mais essaya quand meme, quavait-il perdre. Il le redarda donc droit dans les yeux et pensa tres fort:
*Heu... Bonjour monsieur le chat... Monsieur ou madame. Heu... Je veux dire... Ou suis-je et qui ete vous... Et pourquoi mavez vous appelez monsieur le mime. Et pourquoi tout est-il noir. Aisse que je suis mort. Et quaisse que je fait ici.*
Il avais des questions plain la tete, et il lui semblait que toutes voulait sortir en meme temps.
*Comment tappelle tu deja. Ah, cest vrai, je dois te trouver un surnom... Que pense tu de... Noir... Ou... Seul... Ou... Douceseule... Ou tu choisi et je tappelle comme tu veux.*
h-j: desoler si il n a pas daccent, de points dinterrogations ou autre et quil y as beaucoup de faut, cest que j esuis pas sur mon ordi et celui-ci ne les fait pas.

Hj: C'est correcte, c'est compréhensible!

Le chat regarda le mime tomber ridiculement sur ses fesses et rit intérieurement.
*Si il est mime, c'est peut-êtr pour ÇA!*
Le mime avait rester là pendant un moment en s'interrogeant intérieurement.
*Évidemment, qui le ferait pas la première fois??*
Le mime, ensuite essaya d'interroger la petite boule noir! (et il réussit =_=) Il demndait beaucoup de question en même temps, Mais le chat noir réussit quand même à répondre de son mieux...

-Tu es dans ton lit, ici, tu es un mime et tu ne peux le nier, le chat pointa une patte vers le linge du mime, et c'est plutôt à moi de vous demander qui vous êtes, je crois que je me suis déjà présenter... Si tout est noir c'est parce que c'est la représentation de nos coeurs à nous tous, Je le répète encore, tu es dans ton lit en train de dormir, donc, techniquement tu n'es pas mort et finalement la dernière question, si tu es ici c'est parce que s'était ta destiner.

Le chat rajouta tout bas:

-Même si je ne crois pas en le destin...

Le chat releva la tête à la dernière question du mime et dit:

-Au faite je suis une fille, donc apelle moi... Douceseule! -^^-

Mickael ne comprit pas ce quel murmura,mais dapres son ton, ce netait pas tres joyeux...Il ne comprit pas non plus tout ce quelle lui dit, mais decida de ne pas lui poser dautres questions, comme comment pouvait-il etre a la fois dans son lit et ici.
Elle avait aussi dit quil etait un mime... encore une autre byzzarerie, mais ce netait pas plus byzzare que de parler avec un chat.. heu... une chatte.
*Heu... desoler de ne pas mettre presenter plus tot. je mappelle Mickael Elliott. Et suis aussi desoler de pas avoir vue que vous etiez... on dit une femelle ou une femme.Et aussi, desoler de vous importuner encore mais, je suis un peu perdu... comment on fait pour partir dici... et... heu... comment faites vous pour parlez. Je veux dire, vous etes un chats et les chats sa ne parle pas et je suis un mime et...*
Il realisa soudain pourquoi ilne pouvait pas parler. Il etait un mime. Les mimes ne parlent pas. Ils miment.
*Non, rien. Oubliez ma derniere pahrase.*

H-J:desoler(et oui, plain de desoler dans ce post:P) mais je suis encore sur le clavier qui ne fait pas les point dinterrogations et autres chose du genre.

-Pour partir d'ici, hein? Hum et bien, tu dois...Heu je sais pas, te réveiller et heum... c'est pas mal sa, tu dois te réveiller.... et je crois que c'est pas mal sa...

Elle fit une pause de quelques secondes puis reprit pour répondre à la prochaine question:

-Pour parler, j'agite la langue et je parle! c'est si simple lorsque tu as apprit à parler! (et lorsque que tu as de l'intelligence!)

*Non mais tout le monde qui parle fais sa quand même!!*

La jeune chatte commençait déjà à avoir les pattes un peu engourdit...

-Monsieur le mime, je ne crois pas que vous voulez rester ici, moi, je commence à avoir les jambes engourdit...Pas vous?

*oui,allon nous promener. Cette endoroit me rend triste.*
Il partit sans regarder si Douceseule le suivait, plonger dans ces pensers, il se rappella les paroles d'une vielle chanson,mais dont l'écho dans sa tête lui semblait a peine familier.
*Sous le ciel sans nuage,sous les triste lauriers,
l'aisse passer les gens sur le chemin noir,
marche jusqu'aux souvenirs du passer,
cour sur le chemin de sombre ivoire,

toute les routes on une fin,
toute les routes menent a une fin,

soi voyageur, même avec le poix de ton coeur,
soi voyageur, et ravale tes pleures,
cour,cour sans fin, cour a jamais,
cour,cour a ta fin, car il est long ce trajet,

toute les routes on un fin,
toute les routes menent a la fin,

suis le long fils de ta voie,
avan que couper il ne soi,
suis tes pas et tourne en rond,
ou suis quelqu'un et soi compagnon,

toute les routes on une fin,
toute les route menent a une fin,
toute les routes invisibles de demain,
sont toute les routes du destin*
Puis,le mime se retourna et attendit le chat,le coeur toute aussi lourd mais l'esprit un peu plus léger face a l'aventure.